En savoir plus sur l'artiste...
Alors qu’elle peignait depuis déjà plusieurs années, Stéphanie Médieux, SMX, est « tombée en tauromachie » comme on tombe amoureuse. De cet univers, elle a puisé les couleurs, les ors, la flamboyance, le baroque… et le mouvement.
Dans l’élan du toro, elle puise la force d’une ligne. Dans l’étirement du torero, elle puise l’élégance. Cambrure, pointes, charge, petits pas ou pas chassés, la faena est une danse entre l’homme et la bête, à laquelle l’artiste s’invite.
Autour des arènes, le mundillo apporte aussi sa part de surprises : musique et danse battent leur plein, qui répondent à la fête de la Plaza. Stéphanie Médieux y voit une seule et même source d’inspiration. Dans ses tableaux, les danseuses de Sévillanes côtoient les matadors et les toros. Ensemble, ils composent une ronde unique en son genre.
Stéphanie Médieux vit et travaille dans le Sud-Ouest.
En savoir plus sur l'artiste...
Alors qu’elle peignait depuis déjà plusieurs années, Stéphanie Médieux, SMX, est « tombée en tauromachie » comme on tombe amoureuse. De cet univers, elle a puisé les couleurs, les ors, la flamboyance, le baroque… et le mouvement.
Dans l’élan du toro, elle puise la force d’une ligne. Dans l’étirement du torero, elle puise l’élégance. Cambrure, pointes, charge, petits pas ou pas chassés, la faena est une danse entre l’homme et la bête, à laquelle l’artiste s’invite.
Autour des arènes, le mundillo apporte aussi sa part de surprises : musique et danse battent leur plein, qui répondent à la fête de la Plaza. Stéphanie Médieux y voit une seule et même source d’inspiration. Dans ses tableaux, les danseuses de Sévillanes côtoient les matadors et les toros. Ensemble, ils composent une ronde unique en son genre.
Stéphanie Médieux vit et travaille dans le Sud-Ouest.